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Courrier mensuel de l'Office de Documentation et d'Information de Normandie

Mardi 10 Septembre 2019

Sous les sabots de Sleipnir, le coursier d'Odin…
Actualités normandes du mois de juillet / août 2019



Pour commencer cette rentrée après deux mois de pseudo-vacances durant lesquelles les actualités normandes n’ont pas fait relâche, poussons notre « coup de gueule » – à l’unisson de diverses remarques reçues… lorsque la Poste marche –, à propos de la manière dont les médias nationaux traitent la Normandie :

  • Sur TF1, lors de la météo des plages, il semble que les plages normandes n’existent pas… On passe de la Côte d’Opale aux plages bretonnes…
  • Les médias nationaux ont largement glosé sur ce maire du Finistère qui a pris un arrêté contre l’épandage des pesticides, mesure cassée par le Tribunal administratif… Pourquoi n’en ont-ils pas fait autant pour le maire de Saint-Eloi de Fourques, dans l’Eure, qui a entrepris la même démarche et s’est fait rabrouer par le Préfet ?

La Normandie est-elle encore en France ?

Qui faut-il incriminer ? La presse hexagonale, obnubilée par Paris et certaines régions ? Ou l’absence de correspondants locaux de la presse régionale ?

Faudra-t-il, un jour, instituer un organisme de contrôle des médias qui traquera sur les ondes, dans la presse et les écrans, tous les manquements à l’égard de la Normandie ? Certains y pensent : nous préférerions que nos médias régionaux fussent plus mordants quant à la défense de l’attractivité normande… Vœu pieux, sans doute !

 

ENVIRONNEMENT ET ACTUALITÉ DES ÉVOLUTIONS ÉNERGÉTIQUES

 

Il est constant qu’il faut rapprocher les problèmes énergétiques et les problèmes environnementaux, ne serait-ce qu’à cause des changements climatiques faisant l’objet d’une préoccupation très orchestrée de l’opinion publique.

Nous évoquions plus haut la question des pesticides : La Manche Libre, du 17 août, publie une intéressante carte sur l’utilisation des pesticides dans les départements normands, où l’on voit que les campagnes de Normandie orientale en consomment nettement plus que les départements bas-normands. En fait – à l’exception de la Plaine de Caen qui confirme la règle –, ce sont les zones de grandes cultures qui sont plus consommatrices que les pays de bocage…

Les algues vertes polluent maintenant les plages normandes. Une usine, près de Douvres la Délivrande, entend les exploiter. Souhaitons qu’elle réussisse !

On chasse les déchets : sur les plages (plastiques), dans les cours d’eau, les forêts (dépôts d’ordures et de matériaux de construction non recyclés). Il y a toute une éducation à promouvoir. À noter, nous dit Ouest-France du 8 juillet que l’on étudie et expérimente des larves de mouches qui seraient dévoreuses de déchets.

 

La longue sécheresse de cet été entraîne une étude sur la perspective de constituer des retenues d’eau de pluie culinaires afin de disposer de réserves pour les cultures irriguées… Il paraît que cela déplaît à certains écologistes. Qu’on n’a pas entendu protester contre la destruction des barrages du Sud-Manche. L’énorme réserve d’eau douce du barrage de Vézins n’est plus : elle aurait pu être utile dans tout l’ouest de la France comme réserve d’eau stratégique en cas de sécheresse… Il faut maintenant « renaturer » la vallée jadis engloutie : qui paiera ? Quant à la production d’énergie électrique – l’hydro-électricité est une incontestable énergie renouvelable –, il faudra s’en passer et… multiplier les éoliennes (merci pour les paysages !)…

 Mais rassurons-nous : nous aurons des champs d’éoliennes off-shore : le feu vert est donné pour Courseulles et Fécamp. Ceux qui protestaient ont été déboutés par le Conseil d’État… À quoi bon, dans ces conditions, organiser un Débat Public sur ces projets puisque tout est ficelé d’avance (Courrier Cauchois – 2 août) ? L’hebdomadaire Valeurs Actuelles écrit à propos de cette frénésie éolienne terrestre et off-shore qu’on fait le choix, certainement inconsidéré, du « toujours plus ». En tout cas, la Normandie est concernée. En mal comme en bien (perspectives de créations d’usines ad hoc au Havre et, peut-être, à Cherbourg).

 

Tournons-nous vers les autres énergies de substitution : le nucléaire – gros morceau – est dans l’impasse à cause des problèmes qui retardent la mise en route de l’E.P.R. de Flamanville. Mais le nucléaire reste le principal pourvoyeur d’énergie électrique et la Normandie, qui est très nucléarisée, devrait en tirer parti, plus qu’elle ne le fait.

La méthanisation est prometteuse et peut, en outre, constituer une ressource d’appoint pour l’agriculture… à condition que des défenseurs de l’environnement de style Nimby (Not in my back yard) ne multiplient les recours administratifs et judiciaires.

Le photovoltaïque poursuit sa progression : un projet à Colobert Corubert, dans l’Orne, pourrait se concrétiser.

On peut aussi fonder des espoirs sur le bio-diésel à partir du colza et du blé (notamment à Grand-Couronne) et sur l’hydrogène, fourni par exemple, par l’usine de Port-Jérôme.

 

LES MOBILITÉS RESTENT UNE GRANDE PRÉOCCUPATION

 

Que faire avec l’hydrogène d’ailleurs ? L’entreprise Chéreau propose déjà une réponse avec son camion frigorifique (première mondiale) ; çà et là des expériences de flottes automobiles à l’hydrogène montrent tout l’intérêt de cette énergie non polluante. À l’échelon national, le patron de la SNCF, Guillaume Pépy, préconise le recours à l’hydrogène pour les trains : pourquoi ne pourrait-on pas expérimenter le concept en Normandie ? Autre piste intéressante, le recours à l’hydrogène pour le transport fluvial et maritime. Là encore, la Normandie peut se sentir concernée…

L’évolution du secteur ferroviaire reste prégnante. Il suffit que l’on publie de nouveaux horaires sur telle ou telle ligne pour que des polémiques incessantes ne troublent la relative quiétude de l’été. Il est difficile d’y voir clair : dans l’ensemble, les fréquences des trains sont augmentées, mais il y a des changements d’horaires qui ne sont pas du goût de tout le monde. Et puis, il y a les gares qui ferment (l’exemple de la fermeture de la gare de Glos a suscité un légitime émoi dans la vallée de la Risle). Autre polémique : les futures nouvelles rames Omneo vont-elles permettre le transport des vélos ? Oui, répond la Région. Pas en nombre suffisant, rétorquent les protestataires

En attendant, mais c’est à l’échelon national, il est dénoncé un trop grand nombre d’anomalies dans la maintenance des rails et signalisations.

À noter, enfin, et c’est très important, la mise en route de l’atelier géant de maintenance ferroviaire à Sotteville les Rouen.

 

Au plan routier, une bonne nouvelle : l’ouverture prochaine (et en avance) des échangeurs de Bourneville et de Toutainville sur l’Autoroute de Normandie.

Le sénateur Hervé Maurey est l’un des signataires du rapport du Sénat sur l’état des 26 000 ponts en France. Certains – peu en Normandie – sont carrément en état de délabrement. À suivre…

On observe une nette progression du nombre de voyageurs dans les « cars Macron » et une nouvelle ligne qui dessert Fécamp vient d’être lancée.

 

Enfin, dans le secteur aéroportuaire, s’annonce la modernisation de l’aérogare de Deauville – Normandie… ce qui ne plaît pas à certains riverains (effet Nimby) qui craignent un développement du transport aérien… À noter que Deauville se spécialise dans le transport par avion des chevaux, filière équine oblige.

 

OMBRES ET LUMIÈRES DU SECTEUR PRIMAIRE

 

  • Puisque l’on évoque la filière équine, si emblématique de la Normandie, réjouissons-nous : elle se porte bien, même s’il faut déplorer le grave incendie qui a affecté le Haras national de Saint-Lô. Cela n’a pas empêché le succès du Normandy Horse Show, ni la réussite de certaines compétitions au Haras du Pin. Lequel va se moderniser à partir d’idées nouvelles que la Région et le Département de l’Orne veulent appliquer. À noter enfin la création d’une Académie du Cheval à Deauville.
  • La vente des yearlings a, cette année encore, connu un franc succès : l’élevage chevalin normand est une valeur sûre.
  • Ouest-France, du 13 août, fait remarquer que l’on compte plus de chevaux et de bovins que d’êtres humains dans le Pays d’Auge. « Un cheval sur cinq qui naît en France a vu le jour dans les départements bas-normands ».
  • Tout cela confirme la vocation de la Normandie comme terre d’élevage, comme le souligne l’hebdomadaire L’Eure agricole et rurale. Même l’élevage ovin trouve sa voie en Normandie, avec un certain succès puisque le Collectif lainier de l’Ouest des trois races normandes de moutons a participé au Championnat mondial de tonte. La Manche libre, du 6 juillet, explique le succès du Collectif Laines de l’Ouest par la qualité des laines des moutons normands et l’exigence de ne pas mélanger les laines. La Manche est le seul département de France où l’on compte trois races de moutons, bien distinctes, et les professionnels s’enorgueillissent de produire un fil 100 % normand.
  • Dans ce contexte, on peut comprendre la colère des éleveurs normands contre le vote par le Parlement du Traité CETA. Certes, cela ne justifie pas les nombreuses dégradations infligées aux permanences des députés, mais cela montre l’inquiétude des éleveurs devant la concurrence déloyale toujours à craindre, surtout dans le contexte irrationnel de la contestation végan à l’égard de la consommation de viande.
  • Paris-Normandie, du 21 août, consacre une double page à la progression de l’agriculture bio en Normandie (à rapprocher et opposer à la consommation de pesticides soulignée plus haut). C’est la preuve que le monde agricole est en pleine mutation.
  • La récolte des céréales cette année s’annonce de grande qualité et relativement abondante : bonne pioche pour le port céréalier de Rouen, mais le prix du blé qui baisse réduit l’optimisme des céréaliers.
  • Pour la première fois, l’an passé, la balance commerciale agricole française vers les pays de l’Union Européenne est en déficit : c’est un scandale pour le pays le plus doué en matière agricole de l’Europe communautaire… A l’image, d’ailleurs, du bilan miel de la France, véritable incongruité absurde (lire à propos l’article de Ouest-France du 12 juillet… où l’on constate que la Normandie est la dernière région française productrice de miel (81 tonnes seulement !).
  • La Chambre régionale d’Agriculture vient de faire paraître son Panorama de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire. Document important. On y apprend qu’il y a 31 066 exploitations agricoles en Normandie, dont 1 604 en bio. En moyenne – mais cela veut-il dire grand-chose ? – les exploitations affichent une surface de 63 ha. La Normandie compte 39 500 exploitants et co-exploitants (conjoints le plus souvent). Ils emploient 12 200 personnes. Dans l’agroalimentaire, on compte 830 unités de production dont le chiffre d’affaires dépasse les six milliards d’euros.
  • « Faut-il continuer de replanter les haies ? », le titre de la demi-page de La Manche libre du 17 août interpelle. La réponse devrait être OUI, malgré les réticences de certains agriculteurs qui objectent les difficultés de passage des engins agricoles de plus en plus gros et, mais ils ne le disent pas carrément, parce qu’il faut les entretenir. Pourtant l’agroforesterie peut constituer un appoint non négligeable. L’article de La Manche libre, dont nous recommandons la lecture, fourmille de renseignements sur le linéaire des haies et les essences d’un bocage plus lucratif qu’on ne le croit.
  • Le dossier de la sucrerie de Cagny s’épaissit, mais la fermeture paraît inéluctable. Quel va être l’avenir des betteraviers normands ?
  • Enfin, en Normandie comme ailleurs en France, on s’interroge sur les mobilités dans le monde rural : aller en ville devient un casse-tête. C’est un fait de société qui explique le désarroi de la France périphérique.

 

DIFFÉRENTS FAITS DE SOCIÉTÉ

 

Ce n’est pas une rubrique fourre-tout, mais un aperçu des préoccupations et émotions de la société normande à un moment donné.

  • Commençons par l’amertume et la consternation des plaignants qui n’ont pas été entendus dans le procès de l’amiante. Et, pourtant, les victimes, certaines décédées, existent bien, nombreuses en Normandie. Le non-lieu qui a été énoncé sonne comme un véritable déni d’un drame qui, sans doute, aurait pu durer moins longtemps.
  • La presse commence à s’inquiéter du grand nombre de migrants qui veulent traverser la Manche sur des esquifs de fortune : le phénomène s’amplifie. Que faire de ces gens qui, ne considèrent le pays que comme une étape vers un eldorado fantasmé ?
  • De plus en plus d’églises sont vandalisées : l’église de Bourg-Achard a, par deux fois, été incendiée. L’église de Pirou – Créances a été profanée au printemps dernier. Quelle est la signification de tels actes ? On a commémoré dans la tristesse l’assassinat du Père Hamel, il y a trois ans.
  • Un enseignant-chercheur, d’origine guinéenne, a été assassiné par un Turc : cela a suscité une légitime émotion, notamment dans la communauté universitaire.
  • Des troubles ont accompagné la victoire de l’équipe d’Algérie lors de la Coupe d’Afrique de football : à Evreux, la statue du Général de Gaulle a été déboulonnée. L’auteur du forfait a été condamné en comparution immédiate.
  • La Manche libre du 24 août a consacré une page entière au travail dangereux et constant des démineurs : toutes les semaines, en Normandie, ils interviennent pour neutraliser des mines, des bombes, des munitions, enfouies ou dérivants en mer. Il paraît que cette tâche pourrait durer des décennies, voire des siècles : la Normandie paie encore les conséquences du dernier conflit mondial. Il ne faudrait pas que la France l’oubliât.

 

Heureusement, nous enregistrons de bonnes nouvelles en d’autres domaines.

  • D’abord les milliardaires qui, de Sercq, voulaient faire taire des auteurs et des théâtreux ont été déboutés : les frères Barclay ne peuvent tout acheter, y compris le silence des écrivains et des artistes.
  • La fusée Ariane V, parrainée par la ville de Vernon (normal, c’est de là que part son succès), vient de réussir son tir : la fiabilité des fusées franco-européenne n’est plus à démontrer. Que la Normandie soit associée à ses réussites n’est que justice.
  • Dans le domaine de la santé, on fonde beaucoup d’espoir en Normandie sur la télé-médecine et sur le développement de la Silver Economy, c’est-à-dire l’accueil et l’accompagnement du troisième et quatrième âge.
  • Deux succès sont à retenir : la participation de trois jeunes apprentis normands aux Olympiades des métiers, où ils ont obtenu des places d’honneur. D’autre part, l’attribution du prix Stars et métiers 2019 au cacaotier Hubert Masse, dont l’atelier de fabrication se trouve à Saint Pierre lès Elbeuf.

 

AU PLAN ÉCONOMIQUE, D’INTÉRESSANTES PERSPECTIVES…

 

L’année 2019 présentera un bon bilan pour le tourisme en Normandie (effet Armada et 75eanniversaire de la Bataille de Normandie, mais pas que…). On note, par exemple, la promotion de Saint-Vaast la Hougue comme village préféré des Français et la promotion de Beuvron en Auge au rang de « plus beau village de France ». Le tourisme estival a battu son plein : la Normandie, malgré la canicule, restait « vivable ». C’est un facteur à prendre en compte si changement climatique il y a. La Normandie se distingue, d’autre part, pour le nombre des résidences secondaires. Liberté-Dimanche, du 4 août, en dresse un bilan très significatif. Le même journal a produit une série d’articles sur les Iles anglo-normandes, montrant par là tout l’intérêt de liaisons touristiques et culturelles entre la Normandie continentale et la Normandie insulaire, avec laquelle les liens se resserrent. C’est, en ces temps de Brexit, tout à fait, prometteur.

Au plan sportif – que nous considérons, rappelons-le, comme un moteur économique –, nous avons relevé les prestations des coureurs cyclistes normands durant le dernier Tour de France et le titre de champion de France de l’avenir du coureur cycliste normand Vauquelin. Les journaux nous informent que la Ligue de Foot de Normandie s’installe dans ses meubles à Lisieux et les clubs de rugby, de hand et de basket normands fourbissent leurs armes pour le début des compétitions de la saison sportive. Un premier match de foot a retenu l’attention : le derby normand Le Havre – Caen en Ligue 2. Les spectateurs nombreux en ont eu pour leur argent.

 

Parmi les nouvelles économiques notables, relevons le succès du village des marques de Honfleur où de nouvelles enseignes viennent s’installer, tandis qu’à Douains, près de Vernon, un autre « outlet » terme anglo-saxon à la mode) devrait bientôt voir le jour.

La filière cosmétique représente 16 000 salariés en Normandie et surfe sur le succès des marques, notamment des grands groupes, de parfums et autres produits de beauté.

Dans la filière textile, toujours dynamique et inventive, on relève la mise sur le marché du jean en lin. Le lin, une fibre textile typiquement normande, permet des adaptations au jour le jour plus nombreuses et appréciées.

 

Cela étant, tout n’est pas rose en matière économique et sociale. Si le chômage connaît un léger – très léger – mieux, il reste encore élevé. À noter que l’intérim est en pleine croissance, ainsi que les offres d’emploi pour les cadres, ce qui est un indice d’une relative bonne santé de l’économie normande. On constate même des difficultés de recrutement dans maints secteurs et la Normandie enregistre, pour le premier trimestre 2019, une hausse de 8,8 % du nombre de créations d’entreprises… Quelques inquiétudes cependant : Solex est en panne et redressement judiciaire, Remade est en difficulté et c’est terminé pour AIM.

 

UN CONSEIL RÉGIONAL A LA TÂCHE

 

  • Durant l’été, les instances régionales cueillent les fruits des actions entreprises au cours de l’année. Ainsi la décision de distinguer les villes – martyres, celles qui ont subi les affres et les destructions de la dernière guerre, donne l’occasion à maints conseillers régionaux d’apporter le soutien de la Région lors de cérémonies qui sont des échos – cette fois positifs et enracinés – des commémorations du 75eanniversaire de la Bataille de Normandie. Le moment est venu, a affirmé l’Exécutif régional, de vérifier l’état des villes qui ont connu la période de la reconstruction et, éventuellement, d’aider les municipalités contraintes d’effectuer une restauration et une modernisation des quartiers issus de la reconstruction, quelquefois hâtive, de l’après-guerre.
  • La Région, d’autre part, participe avec l’Agence Régionale de la Santé, au financement de 10 fauteuils d’étudiants dentaires, à Evreux. Est-ce le prélude à la réalisation d’une faculté dentaire en Normandie, où les praticiens sont rares et peinent à se faire remplacer au moment de leur retraite.
  • La Région apporte son aide aux commerçants en faisant bénéficier certains de dispositif « coup de pouce » pour la création ou la reprise d’entreprises de moins de 10 salariés.
  • La Région aide le Campus I, du centre-ville de Saint-Lô, en phase de rénovation, dans le cadre de l’aide à un organisme de formation (855 000 euros).
  • La Normandie a été à l’honneur aux Galeries Lafayette, à Paris : résultat d’une entente entre la direction du groupe et la Région.
  • Hervé Morin s’est réjoui de vendre ses trains à la Région Grand Est, au fur et à mesure de la livraison des nouvelles rames Omnéo. Il s’agit d’une optimisation du parc de matériel roulant et d’une opération gagnant/gagnant des deux entités régionales
  • Le Président de la Normandie a visité l’entreprise Transvidéo, à Verneuil-sur-Avre et soutient la société-maire Ithaki sous la forme d’un prêt de 250 000 euros par le dispositif Impulsion – Développement.
  • La Région essaie de constituer un Conseil régional des Jeunes.

 

La rentrée s’engage sous de bons auspices à la Région : en sera-t-il de même en France ?

Le 5 septembre 2019


Guillaume LENOIR

avec l’aide de Geneviève FLAMENT, Thierry LANGLOIS,

Edwige LE FORESTIER et Emma DAVESNE

 

OFFICE DE DOCUMENTATION ET D’INFORMATION DE NORMANDIE

87, rue de la République

76940 La Mailleraye sur Seine

Commune nouvelle d’Arelaune en Seine


La Rédaction