Livres
L'Eure des blasons : armorial des communes de l'Eure (Nouvelle édition 2016)
"… Dans toute l'Europe, l'affirmation de l'identité d'une ville ou d'une province s'affiche dans ses armoiries, et ce qu'il y a d'extraordinairement uni-taire dans cette représentation graphique, c'est que les règles de cet art – car c'est un art en même temps qu'une science auxiliaire de l'histoire – sont partout les mêmes, immuables depuis les origines et que, suprême connivence, le langage du blason est identique, à quelques nuances près, de Gibraltar à Moscou et d'Oslo à Bari…"
Ici de Broglie à Gisors et de Quillebeuf à Verneuil, notre beau département de l'Eure est raconté par l'héraldique, à travers l'image et le symbole des blasons municipaux.
• 67 nouvelles communes dans cette nouvelle édition 2016.
• Éditions d’Héligoland. 2008, ISBN : 978-2-36611-007-4, 1 volume 16 x 24, 212 pages.Très nombreuses planches couleurs. Édition normale : 27,00 €
Ici de Broglie à Gisors et de Quillebeuf à Verneuil, notre beau département de l'Eure est raconté par l'héraldique, à travers l'image et le symbole des blasons municipaux.
• 67 nouvelles communes dans cette nouvelle édition 2016.
• Éditions d’Héligoland. 2008, ISBN : 978-2-36611-007-4, 1 volume 16 x 24, 212 pages.Très nombreuses planches couleurs. Édition normale : 27,00 €
Lettres sur l'Islande
Xavier Marmier. Lettres sur L’Islande et Poésies
Né le 22 juin 1808, Xavier Marmier fut homme de lettres français, voyageur et traducteur des littératures européennes du Nord.
Voyager n'est plus une aventure. Même pas, pour beaucoup, une curiosité. Tout juste une distraction. A l'époque des grandes transhumances estivales, on imagine mal ce que furent la vie et l'œuvre de ces pionniers qui parcoururent, surtout au XIXe siècle, le vaste monde et eurent la chance de découvrir que sa richesse se nommait diversité.
Sans être un de ces explorateurs aux randonnées pleines de mystères et de dangers, Xavier Marmier, homme paisible s'il en fut, nous apparaît aujourd'hui comme le prototype de ce qu'on pourrait nommer "le voyageur intelligent", soucieux des paysages, des coutumes, des individus rencontrés au hasard de ses innombrables périples.
Le voyage pour lui n'est ni un reniement de son monde familier, ni une fuite hors du réel quotidien, c'est une volontaire immersion dans ce qui est différent, insolite, extraordinaire parfois, mais toujours fraternel.
Il garde une grande capacité d'émerveillement, on dirait presque de naïveté, tant tout l'étonne, l'émeut, le retient. Prodigieusement doué pour les langues, ce "nostalgique de l'espace", ainsi qu'il se qualifiait lui-même, est aussi un écrivain. Non seulement il sait restituer ses impressions, mais rien ne le satisfait davantage que de s'intéresser à la littérature des pays qu'il découvre et d'inlassablement traduire les textes essentiels.
Il sera ainsi un des premiers à nous faire découvrir le monde des lettres islandaises et son nom reste attaché à la grande île septentrionale de glace et de feu.
Né le 22 juin 1808, Xavier Marmier fut homme de lettres français, voyageur et traducteur des littératures européennes du Nord.
Voyager n'est plus une aventure. Même pas, pour beaucoup, une curiosité. Tout juste une distraction. A l'époque des grandes transhumances estivales, on imagine mal ce que furent la vie et l'œuvre de ces pionniers qui parcoururent, surtout au XIXe siècle, le vaste monde et eurent la chance de découvrir que sa richesse se nommait diversité.
Sans être un de ces explorateurs aux randonnées pleines de mystères et de dangers, Xavier Marmier, homme paisible s'il en fut, nous apparaît aujourd'hui comme le prototype de ce qu'on pourrait nommer "le voyageur intelligent", soucieux des paysages, des coutumes, des individus rencontrés au hasard de ses innombrables périples.
Le voyage pour lui n'est ni un reniement de son monde familier, ni une fuite hors du réel quotidien, c'est une volontaire immersion dans ce qui est différent, insolite, extraordinaire parfois, mais toujours fraternel.
Il garde une grande capacité d'émerveillement, on dirait presque de naïveté, tant tout l'étonne, l'émeut, le retient. Prodigieusement doué pour les langues, ce "nostalgique de l'espace", ainsi qu'il se qualifiait lui-même, est aussi un écrivain. Non seulement il sait restituer ses impressions, mais rien ne le satisfait davantage que de s'intéresser à la littérature des pays qu'il découvre et d'inlassablement traduire les textes essentiels.
Il sera ainsi un des premiers à nous faire découvrir le monde des lettres islandaises et son nom reste attaché à la grande île septentrionale de glace et de feu.
Mythologie scandinave
Rasmus B. Anderson : Mythologie scandinave, la légende des Eddas.
samedi 28 août 2010
Rasmus Bjorn Anderson est un auteur américano-norvégien né à Albion dans le Wisconsin, le 12 janvier 1846, de parents qui étaient des immigrants de Stavanger dans le Rogaland norvégien. Ses parents appartenaient à un petit groupe de Quakers qui organisèrent la première émigration norvégienne vers l’Amérique au début des années 1820. Il fut professeur d’université et diplomate au Danemark, ainsi qu’éditeur et traducteur de textes consacrés à l’histoire et aux romans de l’Europe du Nord. C’est lui qui a notamment popularisé l’idée que les Vikings furent les premiers découvreurs du Nouveau Monde, réussissant même à imposer une journée Leif Erikson dans plusieurs états américains. Sa connaissance parfaite de l’islandais lui permit d’avoir accès aux textes fondamentaux de la littérature norroise et d’en devenir l’un des grands spécialistes de son époque.
Premier titre de la collection Au Nord du Monde des Editions d’Héligoland, le livre Mythologie scandinave de Rasmus Bjorn Anderson, publié aux éditions Ernest Leroux en 1886, méritait une réédition qui n’a jamais eu lieu jusqu’à présent. Jean Mabire, invétéré chineur de livres, le mentionnait en 1978 comme un ouvrage introuvable « dont il n’existe aucun équivalent contemporain ». Nous avons à notre tour cherché, fouillé, chiné pendant des années, jusqu’à ce qu’un beau jour nous découvrions l’objet de notre assiduité sous la forme d’un vieux bouquin fatigué, relié en percaline brune. Le trésor tant attendu, sous un aspect austère, allait enfin livrer ses secrets !
Certes, la recherche aujourd’hui a progressé vers une meilleure connaissance dans le domaine nordique, mais ses publications en restent souvent difficiles d’accès pour des néophytes qui veulent découvrir le fascinant Royaume du Nord et les mœurs, coutumes, croyances et traditions des hommes qui y ont vécu et fait souche depuis des temps assurément fort reculés. Conjointement, depuis les années quatre-vingt, une littérature foisonnante, côtoyant allègrement ésotérisme « œcuménique » et mode New Age, a pris le contre-pied des études universitaires en mêlant de manière univoque la pratique magique et le chamanisme à l’étude anthropologique, sociologique, culturelle, historique et à l’érudition. Les mondes traditionnels, dans notre époque troublée et chagrine, en perte de repères, noyée dans le relativisme le plus chaotique, passionnent pour leurs sorciers, chamanes, magiciens, mages et autres mystagogues : une nouvelle forme de « quête de pouvoir » sur le monde subtil, presque aussi matérialiste que celle fondée sur le rationalisme s’est emparée d’un public friand de fantastique. Elle ressemble fort à cette forme de « religiosité seconde » dénoncée par Oswald Spengler comme signe de déclin de sociétés aux croyances déjà vacillantes. Il est à craindre qu’irrationalisme, auto-suggestion et fuite hors de la réalité n’en soient les mamelles.
Rien de tel avec cet ouvrage que nous publions et qui se situe en un juste milieu, parce qu’il restaure avant tout la dimension poétique des mythes du Nord, ce qui est peut-être bien l’essence même du sacré dans un domaine où toute tentative de ritualisation se heurte véritablement à un problème de continuité et de légitimité. Laissons la mythologie et ses symboles parler au plus profond de nous de manière franche et directe, laissons-nous séduire par leur beauté et leur simplicité, sachons y voir des tableaux grandioses se dévoiler, une dynamique s’esquisser, une vision du monde et une sagesse se mettre en place, un esprit et une âme s’exprimer. Les mythes parleront en nos tréfonds, exigeant de nous le plus profond respect à défaut d’un culte parfait devenu aujourd’hui problématique et aléatoire.
Du « culte » passons à la « culture » qui est la prolongation du premier terme, et cultivons notre « jardin secret » pour engranger tant de belles images qui s’enracinent sur une terre septentrionale aux contours si attrayants, et dans un psychisme modelé par une nature sauvage et vaste, espace de liberté, de solitude et d’indépendance. Les territoires de l’antique et mythique Thulé qui se confondent géographiquement et sentimentalement avec les pays de « l’arc nordique » aux parages du cercle polaire arctique, au Nord de notre Europe, sont les chemins d’un « recours aux forêts » pour l’homme libre conscient des limites du monde moderne et de sa tolérance à sens unique.
Voilà la raison d’être de notre collection dont la future ligne éditoriale est bien représentée par le beau livre de Rasmus Bjorn Anderson. De la Finlande et des Pays Baltes, à l’extrême Occident des Celtes et de l’Islande en passant par la Scandinavie et la vieille Germanie, notre volonté est de dévoiler une part des « mystères » et de la poésie originelle des mondes nordiques, afin d’accéder à une meilleure connaissance de ces lieux aux paysages romantiques, à cette Europe romanesque et « barbare » d’où sourd véritablement la « Sehnsucht », cette nostalgie qui s’empare de l’homme en quête de sens, en recherche d’idéaux nobles au spectacle de la beauté, de la grandeur du monde et de son immanence.
Honoré de Balzac annonçait fièrement : « J’ai fait de fabuleux voyages, embarqué sur un livre ». En tant que directeur de collection telle est notre volonté d’emmener des lecteurs prêts à entamer de nouvelles traversées où ils découvriront une part d’eux-mêmes, ainsi qu’un héritage ancestral. Cette passion pour le livre, petit objet anodin, qui certes, comme la langue, peut être « la pire et la meilleure des choses », représente encore un formidable espace de liberté qui peut forger des « esprits libres » et permet de se construire soi-même dans un élan basé sur l’amour de la culture authentique et la connaissance des racines de l’âme européenne.
Rasmus B. Anderson : Mythologie scandinave, la légende des Eddas.
samedi 28 août 2010
Rasmus Bjorn Anderson est un auteur américano-norvégien né à Albion dans le Wisconsin, le 12 janvier 1846, de parents qui étaient des immigrants de Stavanger dans le Rogaland norvégien. Ses parents appartenaient à un petit groupe de Quakers qui organisèrent la première émigration norvégienne vers l’Amérique au début des années 1820. Il fut professeur d’université et diplomate au Danemark, ainsi qu’éditeur et traducteur de textes consacrés à l’histoire et aux romans de l’Europe du Nord. C’est lui qui a notamment popularisé l’idée que les Vikings furent les premiers découvreurs du Nouveau Monde, réussissant même à imposer une journée Leif Erikson dans plusieurs états américains. Sa connaissance parfaite de l’islandais lui permit d’avoir accès aux textes fondamentaux de la littérature norroise et d’en devenir l’un des grands spécialistes de son époque.
Premier titre de la collection Au Nord du Monde des Editions d’Héligoland, le livre Mythologie scandinave de Rasmus Bjorn Anderson, publié aux éditions Ernest Leroux en 1886, méritait une réédition qui n’a jamais eu lieu jusqu’à présent. Jean Mabire, invétéré chineur de livres, le mentionnait en 1978 comme un ouvrage introuvable « dont il n’existe aucun équivalent contemporain ». Nous avons à notre tour cherché, fouillé, chiné pendant des années, jusqu’à ce qu’un beau jour nous découvrions l’objet de notre assiduité sous la forme d’un vieux bouquin fatigué, relié en percaline brune. Le trésor tant attendu, sous un aspect austère, allait enfin livrer ses secrets !
Certes, la recherche aujourd’hui a progressé vers une meilleure connaissance dans le domaine nordique, mais ses publications en restent souvent difficiles d’accès pour des néophytes qui veulent découvrir le fascinant Royaume du Nord et les mœurs, coutumes, croyances et traditions des hommes qui y ont vécu et fait souche depuis des temps assurément fort reculés. Conjointement, depuis les années quatre-vingt, une littérature foisonnante, côtoyant allègrement ésotérisme « œcuménique » et mode New Age, a pris le contre-pied des études universitaires en mêlant de manière univoque la pratique magique et le chamanisme à l’étude anthropologique, sociologique, culturelle, historique et à l’érudition. Les mondes traditionnels, dans notre époque troublée et chagrine, en perte de repères, noyée dans le relativisme le plus chaotique, passionnent pour leurs sorciers, chamanes, magiciens, mages et autres mystagogues : une nouvelle forme de « quête de pouvoir » sur le monde subtil, presque aussi matérialiste que celle fondée sur le rationalisme s’est emparée d’un public friand de fantastique. Elle ressemble fort à cette forme de « religiosité seconde » dénoncée par Oswald Spengler comme signe de déclin de sociétés aux croyances déjà vacillantes. Il est à craindre qu’irrationalisme, auto-suggestion et fuite hors de la réalité n’en soient les mamelles.
Rien de tel avec cet ouvrage que nous publions et qui se situe en un juste milieu, parce qu’il restaure avant tout la dimension poétique des mythes du Nord, ce qui est peut-être bien l’essence même du sacré dans un domaine où toute tentative de ritualisation se heurte véritablement à un problème de continuité et de légitimité. Laissons la mythologie et ses symboles parler au plus profond de nous de manière franche et directe, laissons-nous séduire par leur beauté et leur simplicité, sachons y voir des tableaux grandioses se dévoiler, une dynamique s’esquisser, une vision du monde et une sagesse se mettre en place, un esprit et une âme s’exprimer. Les mythes parleront en nos tréfonds, exigeant de nous le plus profond respect à défaut d’un culte parfait devenu aujourd’hui problématique et aléatoire.
Du « culte » passons à la « culture » qui est la prolongation du premier terme, et cultivons notre « jardin secret » pour engranger tant de belles images qui s’enracinent sur une terre septentrionale aux contours si attrayants, et dans un psychisme modelé par une nature sauvage et vaste, espace de liberté, de solitude et d’indépendance. Les territoires de l’antique et mythique Thulé qui se confondent géographiquement et sentimentalement avec les pays de « l’arc nordique » aux parages du cercle polaire arctique, au Nord de notre Europe, sont les chemins d’un « recours aux forêts » pour l’homme libre conscient des limites du monde moderne et de sa tolérance à sens unique.
Voilà la raison d’être de notre collection dont la future ligne éditoriale est bien représentée par le beau livre de Rasmus Bjorn Anderson. De la Finlande et des Pays Baltes, à l’extrême Occident des Celtes et de l’Islande en passant par la Scandinavie et la vieille Germanie, notre volonté est de dévoiler une part des « mystères » et de la poésie originelle des mondes nordiques, afin d’accéder à une meilleure connaissance de ces lieux aux paysages romantiques, à cette Europe romanesque et « barbare » d’où sourd véritablement la « Sehnsucht », cette nostalgie qui s’empare de l’homme en quête de sens, en recherche d’idéaux nobles au spectacle de la beauté, de la grandeur du monde et de son immanence.
Honoré de Balzac annonçait fièrement : « J’ai fait de fabuleux voyages, embarqué sur un livre ». En tant que directeur de collection telle est notre volonté d’emmener des lecteurs prêts à entamer de nouvelles traversées où ils découvriront une part d’eux-mêmes, ainsi qu’un héritage ancestral. Cette passion pour le livre, petit objet anodin, qui certes, comme la langue, peut être « la pire et la meilleure des choses », représente encore un formidable espace de liberté qui peut forger des « esprits libres » et permet de se construire soi-même dans un élan basé sur l’amour de la culture authentique et la connaissance des racines de l’âme européenne.
Mon petit livre de contes normands
Mon petit livre de contes Normands. Gérard Roger
mardi 7 décembre 2010
« Le conte, c'est comme le Calvados, c'est un genre littéraire qui ne supporte pas la médiocrité ! » me disait un jour l'un de mes amis écrivains.
En matière de contes normands, j'avais pour référence les excellents ouvrages de Guy de Maupassant et ceux, non moins savoureux, de Jean Bard.
C'est la raison pour laquelle j'ai beaucoup hésité avant de me lancer dans l'écriture de cet ouvrage.
L'enthousiasme de mon confrère et ami Claude Doyennel – dit «Arseni» – à la lecture de mes deux premières nouvelles, m'a incité à continuer de coucher sur le papier ces quelques histoires du cru que j'avais gardées en mémoire depuis ma jeunesse, les ayant moi-même vécues ou m'ayant été racontées par des membres de ma famille ou des amis.
Ces contes reposant tous sur un fond de vérité, j'ai préféré changer les noms de lieux et ceux des personnages pour éviter qu'ils ne soient identifiés.
Ces histoires se sont déroulés, pour la plupart d'entre elles, dans le Pays d'Auge-Sud entre Lisieux et Argentan et illustrent les qualités et les travers d'une population au bon sens légendaire.
Mon petit livre de contes Normands. Gérard Roger
mardi 7 décembre 2010
« Le conte, c'est comme le Calvados, c'est un genre littéraire qui ne supporte pas la médiocrité ! » me disait un jour l'un de mes amis écrivains.
En matière de contes normands, j'avais pour référence les excellents ouvrages de Guy de Maupassant et ceux, non moins savoureux, de Jean Bard.
C'est la raison pour laquelle j'ai beaucoup hésité avant de me lancer dans l'écriture de cet ouvrage.
L'enthousiasme de mon confrère et ami Claude Doyennel – dit «Arseni» – à la lecture de mes deux premières nouvelles, m'a incité à continuer de coucher sur le papier ces quelques histoires du cru que j'avais gardées en mémoire depuis ma jeunesse, les ayant moi-même vécues ou m'ayant été racontées par des membres de ma famille ou des amis.
Ces contes reposant tous sur un fond de vérité, j'ai préféré changer les noms de lieux et ceux des personnages pour éviter qu'ils ne soient identifiés.
Ces histoires se sont déroulés, pour la plupart d'entre elles, dans le Pays d'Auge-Sud entre Lisieux et Argentan et illustrent les qualités et les travers d'une population au bon sens légendaire.
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Prechi d'cheux nous
Lire sous les Pommiers
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Association des Amis de TVNC . BP6. F27290 Pont-Authou. Association Loi 1901 à but non lucratif. Identification R.N.A. : W272001426 - N° de parution : 20120048 |
Directeur de Publication : Emmanuel Mauger. Rédacteurs : G. Éloy, E. Mauger, D. Patte,
J-M. Joly, N. Kragge, D. Joulain, P. Bagnuls, F. Lesade, C. Brun, L. Ronsin. © 2010-2020 - Tous droits réservés |